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Capsule design #2 - Écoconcevoir avec les ateliers d'idéation

Capsule Design #2 - Écoconcevoir avec les ateliers d'idéation

À travers diverses pratiques comme le Design Studio ou la méthode C.O.E.U.R. (re)découvrez avec Alizée et Damien une étape cruciale pour co-construire avec votre équipe des solutions d’interface pertinentes, optimisées et écoconçues !

Publié le 30 mars 2022

Bonjour à tous et à toutes et bienvenue dans cette nouvelle capsule de Salut les Designers, le podcast de l’Agence LunaWeb !

Dans ce nouvel épisode, Alizée et Damien reviennent sur l’intérêt des ateliers d’idéation et de simplification dans une démarche d’écoconception (mais pas que !). À travers diverses pratiques comme le Design Studio ou la méthode C.O.E.U.R. (re)découvrez une étape cruciale pour co-construire avec votre équipe des solutions d’interface pertinentes et optimisées.

Bonne écoute à tous et à toutes,

Les Designers de l’Agence LunaWeb.

La transcription

Alizée : Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de Salut les Designers, le podcast de l’Agence LunaWeb. Dans ce nouveau format court intitulé Capsule Design, nous irons à la découverte de différentes thématiques du design UX en compagnie d’un membre de l’équipe de l’agence.

Pour ce deuxième épisode de notre série, je suis ravi de recevoir mon collègue Damien Legendre, UX et UI Designer à l’agence, salut Damien !

Damien : Salut Alizée ! Je suis ravi de pouvoir passer de l’autre côté du micro aujourd’hui avec toi. Un exercice qui est un peu nouveau pour moi, mais que j’aborde avec plaisir.

Alizée : Peux-tu te présenter et nous expliquer ce que tu fais à l’agence en quelques mots ?

Damien : Au sein de l’agence comme tu l’as dit, je suis designer UX et UI. J’interviens sur toute la phase de conception des interfaces web que l’on me confie et j’accompagne nos client.e.s, de la réflexion de l’architecture de leur projet jusqu’au prototype à mettre entre les mains des utilisat.rice.eur.s afin qu’il soit testé et donc sujets à de nouvelles itérations et développé par notre équipe de développ.euse.eur.s.

Je suis également responsable de l’équipe UX à l’agence. C’est un pôle de huit personnes qui regroupe des UX designers comme nous, des UX researchers et des UX writers. Que des métiers en UX, parce que pour toutes ces personnes, la connaissance de l’utilisateur, c’est le fondement même de leur travail.

Alizée : Aujourd’hui, tu vas nous parler de l’intérêt que les méthodes d’idéation peuvent avoir lorsqu’on mène un projet écoconçu. 

Est-ce que tu peux nous expliquer dans un premier temps en quoi consiste l’idéation et comment tu l’appliques aux projets Web ?

Damien : Oui, les méthodes d’idéation pour faire simple, c’est l’ensemble des leviers qu’on va utiliser en atelier afin de permettre de mieux réfléchir ensemble, avec les différent.e.s participant.e.s. On va pouvoir creuser les problématiques ou inventer de nouvelles choses en additionnant tous les cerveaux qui vont être autour de la table.

Les méthodes d’idéation sont l’ensemble des leviers que l’on va utiliser en atelier pour permettre de mieux réfléchir ensemble.

Parfois on va utiliser le jeu, mais surtout on va appliquer un cadre et définir des règles communes à tous et toutes pour faire converger les réflexions de chacun.e vers une même direction.

Je compare ça souvent aux bonnes réunions qu’on ne fait pas sans ordre du jour. Moi, je dirais qu’on ne fait pas d’atelier d’idéation sans un cadre qui serait défini par l’animat.rice.eur en amont. Il faut viser un objectif de fin d’atelier, mettre chacun.e dans les meilleures conditions pour qu’on puisse réfléchir, s’exprimer et surtout s’écouter.

Alizée : Aujourd’hui, quel lien fais-tu entre les méthodes d’idéation et l’écoconception ?

Damien : Pour commencer à te répondre, je dirais déjà que l’éco conception est un sujet dont on entend beaucoup parler en tant que concept.rice.eur web et c’est tant mieux d’ailleurs.

L’objectif que nous nous fixons à l’Agence, c’est de monter en puissance sur ce sujet, qui fait écho à des valeurs que nous partageons en tant que collectif. De ce fait, nous cherchons à concevoir des sites web qui sont les moins consommateurs en ressources que possible. Je ne sais pas si tout le monde aura la référence, mais comme dans la Légende du Colibri, on fait notre part pour la planète, à notre échelle.

Pour concevoir des sites moins énergivores, il faut passer par une étape de simplification du périmètre et des fonctionnalités.

Concernant le web, on montre un peu la voie auprès des client.e. On s’est assez vite rendu compte que pour concevoir des sites qui soient moins énergivores, moins gourmands, il fallait forcément passer par une étape de simplification du périmètre et des fonctionnalités du projet. Moins c’est mieux. Pourtant, on se rend compte que faire le deuil de certaines idées ou fonctionnalités, ce n’est pas simple à faire accepter à toute une équipe de projet.

De surcroît, cette décision est souvent arbitraire, suivant simplement celui ou celle qui a le plus de pouvoir de décision, par exemple. Ça paraît cliché mais c’est souvent ce qui se passe, la décision revient à celui ou celle qui a le plus de charisme et de leadership dans l’assemblée.

C’est là où les méthodes d’idéation permettent de poser le cadre dont je parlais tout à l’heure. Et selon le sujet que l’on choisit de simplifier, on va appliquer telle ou telle méthode pour que chacun.e puisse s’exprimer et soit guidé dans sa réflexion, par une consigne communément partagée.

Faire le deuil de certaines idées ou fonctionnalités n’est souvent pas simple à faire accepter à toute une équipe de projet.

Les choix se font ainsi plus naturellement et avec moins de frustrations. Au final, on fait de vrais choix de conception et le périmètre du projet s’allège naturellement pour se contenter de ce qui est essentiel, tout ça grâce à l’intelligence collective que l’idéation révèle.

Alizée : Oui tout à fait. Concrètement, quelles méthodes s’appliquent particulièrement pour tendre à la simplification de ces interfaces ?

Damien : Alors, il y a énormément de méthodes d’idéation qui permettent de simplifier la conception Web. Elles sont d’ailleurs souvent tirées de méthodes Agiles ou de ce qu’on pouvait déjà utiliser en atelier UX.

J’aime notamment beaucoup la méthode classique du Design Studio. C’est un bon exercice, qui va permettre aux membres du projet d’exprimer leur concept subjectif, c’est à dire c’est leur concept à eux de l’interface à réaliser. Au début, il n’est pas question de les contraindre sur le nombre de fonctionnalités qu’ils voient à ce stade, sur leur petit sketching (NdR : dessin à la main).

Le Design Studio est un bon exercice qui va permettre aux membres du projet d’exprimer sans contrainte leur concept subjectif de l’interface à réaliser.

C’est ensuite, après la présentation de ces pistes, que chaque membre de l’atelier pourra poser une gommette ou tout autre marqueur, sur ce qui lui semble le plus crucial à mettre en place parmi toutes les propositions des participants.

Évidemment, pour que ça marche, il faut que ces comètes ou ces marqueurs soient en nombre limités, de façon à contraindre les votes à ce qui est essentiel. Et donc, à l’issue de cet exercice, chacun.e aura pu s’exprimer au sujet de ce qui lui paraît le plus adapté et on pourra assez facilement visualiser ce qui n’a plus ou peu de sens en tant que projet simplifié.

Une autre méthode que j’aime beaucoup et que j’ai découvert par l’intermédiaire de Rémi Guyot, qui CPO (NdR : Chief Product Officier ou Directeur produit) chez Blablacar. Il l’avait présenté pendant une conférence à BlendWebMix 2019 à Lyon.

C’est un jeu de cartes qu’il a créé, qui s’appelle la méthode C.O.E.U.R. Initialement, si vous retrouvez la vidéo sur YouTube, ça s’appelait la méthode H.O.R.S.E. mais maintenant c’est la méthode C.O.E.U.R. car il en a fait une nouvelle version.

Ce qui est intéressant avec cette méthode c’est qu’il y a un lien assez rapide à faire avec l’écoconception web puisqu’elle permet de simplifier l’interface au travers des cinq types de cartes qui la composent.

Ce qui est intéressant avec la méthode C.O.E.U.R. de Rémi Guyot, c’est le lien évident avec l’écoconception web, qui apprend à simplifier l’interface.

Chacune de ces cartes est distribuée aux membres de l’atelier. Sur le verso on ne peut pas distinguer les cartes entre elles, comme un jeu de cartes classique. Et au recto va être affichée une des lettres du mot “cœur”. Chacune de ces lettres correspond à une mission qui va incomber à la personne qui l’aura.

La lettre « C » pour cacher, il va s’agir de mettre hors de vue un élément de l’interface qui ne serait pas indispensable. « O » permet d’ordonner, d’apporter de la hiérarchie, de la structure à l’interface en organisant différemment certains composants, par exemple. « E » pour éliminer, c’est tout bonnement pour supprimer un composant de l’écran et pour uniformiser, c’est-à-dire standardiser, harmoniser des éléments entre eux qui seraient différents, alors qu’en fait, ils avaient plutôt besoin d’être similaires. Et « R » pour réduire et diminuer l’importance d’un élément sur l’interface.

Chaque lettre du mot “cœur” correspond à une mission qui incombe à un participant à l’atelier. Une excellente manière d’impliquer toutes les personnes présentes.

Ce qui est intéressant, c’est que comme chacun a sa propre mission, on a un périmètre à ne pas dépasser et on se contente de ce que l’on a à faire. Rien n’empêche de faire tourner les rôles ensuite, il y a plein de façons de l’utiliser, de déclinaisons possibles, mais ce jeu est assez assez simple d’accès et assez révélateur de bonnes idées en règle générale.

Alizée : Et ça permet à tout le monde de participer efficacement à l’atelier…

Damien : C’est ça, au moins on est sûr que tout le monde parle, même quelqu’un qui n’aurait pas osé prendre la parole simplement. Et je préciserai aussi qu’il ne faut pas s’empêcher d’imaginer ses propres règles pour les ateliers de simplification. Ce qui compte, comme tu l’as dit, c’est que chacun s’exprime et que l’on trie efficacement l’essentiel. À partir de là, c’est OK pour moi.

Il ne faut pas s’empêcher d’imaginer ses propres règles pour les ateliers de simplification, comme nous l’avons fait avec notre format “Choose me a feature”.

C’est comme ça que nous, on a pensé une revue de simplification qu’on a humblement baptisé « Choose me a feature » (NdR : Choisi une fonctionnalité). C’est une méthode très simple, basée sur des post-it et des colonnes, qui amène l’équipe à réduire le nombre de fonctionnalités de l’interface à force d’itérations simples, basées sur de l’échange format Kanban. On ne réinvente pas la roue, on détourne des méthodes qu’on connaissait déjà de façon à juste arriver à notre but, simplifier.

Alizée : Est-ce que tu vois d’autres bienfaits que ces ateliers de simplification peuvent avoir sur le projet ?

Damien : Oui, et c’est là que c’est que c’est vraiment assez puissant finalement, parce que l’une des grandes forces de ces méthodes de simplification, c’est qu’elles sont totalement complémentaires de ce que nous, on faisait déjà à l’Agence.

L’une des grandes forces de ces méthodes de simplification est de pouvoir s’adapter à plusieurs contextes projets.

Par exemple au niveau des performances d’un site web. Évidemment, si on fait un site plus simple, il va indéniablement être plus performant,  le fameux « moins c’est mieux » dont je parlais tout à l’heure. Je ne suis pas le mieux placé pour en parler, il faudrait en parler avec un développeur back-end par exemple, mais ça nous donne une idée quand même.

Si jamais on travaille sur un produit type MVP, c’est le Minimum Viable Product ou Produit Minimum Viable – j’essaie d’éviter les anglicismes – c’est à dire un produit web qui doit sortir très, très vite parce qu’on veut le tester sur le marché, dans ces cas là, on essaye de réduire le périmètre. Donc forcément, ces méthodes d’idéation collent à ce format là. Donc faire un MVP écoconçu, c’est complètement compatible.

Création d’un MVP, parcours utilisateur, accessibilité, les sujets qui bénéficient des conclusions tirées d’atelier d’idéation et de simplification sont nombreux.

Pour l’expérience utilisateur, je pense qu’on va vite comprendre que si un site est moins chargé de fonctionnalités et de contenu pas ou peu utiles, on va le rendre plus essentiel, plus épuré et donc forcément un peu plus utilisable, puisque l’utilisateur va plus facilement trouver ce qui est le cœur du réacteur de ce site.

Et enfin, je crois que je peux me mouiller un petit peu en disant que d’un point de vue accessibilité, proposer des interfaces plus simples, ça peut être un avantage. Je pense forcément aux personnes qui naviguent au clavier, assisté d’un lecteur d’écran en disant ça, mais je suis réducteur parce que j’imagine que ça sert beaucoup plus de personnes en situation de handicap de simplifier les interfaces web.

Alizée : Est-ce que tu identifies un moment plus opportun que l’autre pour mettre en place ces ateliers d’idéation ? À quel moment du projet on peut les utiliser ?

Damien : C’est une bonne question dont on n’a pas forcément encore fait tout le tour parce que c’est assez récent finalement qu’on soit investi dans le sujet de l’écoconception.

Mais a priori, on peut s’intéresser à la simplification quand même dès les premiers jours du projet et lorsque l’on commence à cadrer le périmètre global, ça me semble à peu près évident.

Il ne faut pas hésiter à se questionner à tout moment sur le besoin d’une revue de simplification. Cela doit devenir un automatisme.

Je trouve que c’est très intéressant, là pour le coup par expérience, de s’y pencher également après la phase de recherche utilisateurs. Ce moment où l’on a pas mal de données qui viennent des usagers et l’on va commencer des synthèses sous forme de persona ou de parcours. Là, on va pouvoir commencer à vraiment voir ce qui est le plus important pour eux. Ça peut être intéressant de se baser là-dessus au niveau de l’atelier.

Mais je crois qu’en réalité, il ne faut surtout pas hésiter à se questionner à tout moment sur le besoin de se reposer autour d’une revue de simplification. Il me semble que ça doit devenir un automatisme en fait.

Alizée : Comment t’assures-tu que les participant.e.s, les client.e.s, tous ceux et toutes celles qui sont autour de la table adhèrent à l’atelier d’innovation et participent ?

Damien : Je suis très attaché à ce que chacun.e soit rapidement à l’aise, autant que possible. Si l’atelier est un peu long, je propose souvent de commencer par un Ice Breaker par exemple, ce qui permet à chacun.e de prendre la parole pour la première fois. Il y a plein de méthodes un peu rigolotes qu’on peut mettre en place, il suffit de chercher un petit peu sur Internet, voir ce qui correspond le mieux à votre atelier.

Dans ce genre d’atelier, personne ne doit être mis de côté. Et c’est le rôle du facilitateur ou de l’animateur, comme on veut l’appeler, de s’en assurer.

J’essaie d’être en veille pour me renouveler ou inventer de nouvelles choses à ce sujet. Surtout quand on doit animer des ateliers plusieurs fois avec le ou la même client.e ou en interne, ce qui est intéressant c’est d’essayer de ne pas faire toujours forcément le même Ice Breaker, pour que ça adhère.

Sinon, comme je le disais plus tôt, le partage de la parole à tous me semble vraiment crucial. Et là, c’est le rôle du facilitat.rice.eur ou de l’animat.rice.eur, comme on veut l’appeler. Personne ne doit être mis de côté. C’est vraiment notre rôle d’être garant de ça, de faire en sorte que chacun.e ait le même temps de parole. Bon, ce n’est pas les élections présidentielles – même si on est bientôt là d’ailleurs – mais il faut s’assurer que chacun.e ait pu s’exprimer.

Il est très intéressant et stimulant de partager ce rôle de facilitateur avec un métier complémentaire du sien.

Et je préciserai que d’ailleurs, ce rôle de facilitat.rice.eur, j’aime beaucoup le partager avec une autre personne. Ça peut être un.e autre designer, un.e chef.fe de projet ou un.e UX researcher par exemple, pourquoi pas même un développ.euse.eur. Je trouve que ça permet d’être plus réactif, d’apporter un peu de rythme à l’atelier, et de n’oublier personne parmi les participant.e.s.

Alizée : Une fois que les ateliers ont été réalisés et que des engagements ont été pris – par exemple celui de supprimer telle ou telle fonctionnalité – comment s’assure-t-on que chacun.e se tienne aux objectifs initialement détaillés ?

Damien : Ce point fait vraiment écho aux méthodes UX, notamment faire tenir des engagements et des visions partagées à un instant T. C’est un défi que l’on a déjà relevé et ça tient à des rappels récurrents.

Restez vigilant, Il est aussi facile d’oublier les engagements de simplification des premiers ateliers que les besoins d’un persona primaire si on les perd de vue. 

Il est aussi facile d’oublier les engagements de simplification des premiers ateliers que les besoins d’un persona primaire, si on les perd de vue. A priori, il tient au leader du projet de maintenir tout cela dans les esprits de l’équipe en les rappelant à chaque atelier ou en accrochant par exemple des choses sur les murs.

Alizée : Pour finir, Damien, est ce que tu aurais une petite astuce à nous délivrer pour aider celles et ceux qui voudraient s’essayer à ces pratiques ?

Damien : Je pense qu’il ne faut pas se mettre trop de barrières. Je le dis avec facilité parce que c’est un des problèmes que j’ai rencontré au début. Je voulais trop maîtriser mon atelier, j’avais peur que le format déplaise et finalement aucun drame n’est jamais survenu ! Il faut tester des formats et voir ce qui correspond le mieux à votre équipe de conception.

Ce n’est pas grave de tester une méthode et de se rendre compte qu’elle fonctionne moins bien qu’une autre, au contraire, ça fait partie du jeu.

Ce n’est pas grave de tester une méthode et de se rendre compte qu’elle fonctionne moins bien, ça fait partie du jeu. Et surtout, si on se sent un peu créatif, je dirais qu’il faut tenter de détourner des méthodes ou de créer de toutes pièces celles qui peuvent correspondre à ce que l’on a besoin de faire. Au final, si tout le monde semble à l’aise et que cela sert l’objectif final, a priori, tout est OK.

Alizée : Merci beaucoup Damien pour ce partage sur cette première phase qu’est l’idéation au service ici de l’écoconception. Un sujet qui nous tient à cœur depuis de nombreux mois maintenant chez LunaWeb et qu’on ne cesse de développer. Cela nous permet de mieux comprendre les enjeux, de poser un cadre aux ateliers de conception. Surtout lorsque nous devons aborder ce sujet parfois frustrant de la rationalisation des fonctionnalités.

Nous aurons l’occasion de revenir sur cette thématique de l’éco conception, mais vous pouvez d’ores et déjà retrouver ce nouveau format Capsule Design tous les deux mois. Nous avons pas mal de thématiques design à vous partager tout au long de l’année et nous espérons que ça vous intéressera.

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À très bientôt.

Damien : À bientôt.

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